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Brigade des stupéfiants Une importante quantité d’armes de guerre saisie à Bamako

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La Brigade des stupéfiants, sous la tutelle de la Direction de la Police Judicaire a, lors d’une conférence de presse, indiqué avoir effectué, de janvier à décembre 2019, une vaste opération ayant conduit à la saisie de plusieurs armes de guerre, de munitions, de stupéfiants, entre autres.

 

Dans cette mission, qui demande une plus grande détermination, de l’engagement et de la vigilance, la Brigade des stupéfiants a mis à la disposition des parquets des Communes III et VI du district de Bamako, quelque 43 personnes. Parmi lesquelles, trois étaient en possession d’explosifs et de détonateurs. Une autre personne était en possession de roquettes et de charges explosives, les autres pour infraction à la législation sur les stupéfiants.

Les éléments du Commissaire Divisionnaire de Police, Amadou Touré, de la Brigade des stupéfiants ont également saisi 757 briques d’herbes de cannabis et une quantité variée pesant au total une tonne deux cent quatre-vingt-douze kilogrammes (1 T 292 kg). S’agissant des Cracks (dérivés de cocaïne) et les Off (dérivés de l’héroïne) 364 doses de consommation et 273 autres doses ont été respectivement saisies.

La Brigade des stupéfiants a mis à la disposition de la Direction de la Pharmacie et du Médicament (DPM) pour destruction des produits pharmaceutiques d’environ 800 kilogrammes. D’autres produits et minutions d’armes lourdes ont été saisis et mis à la disposition de la Brigade d’Investigations Spécialisées (BIS). Il s’agit de 495 explosifs et 200 détonateurs. Il s’y ajoute la saisie de 15 roquettes et 15 charges propulsives.

Le Commissaire Divisionnaire de Police, Amadou Touré, indique que  » dans la lutte contre la consommation, la vente, le trafic local et international de drogue et des produits psychotropes ainsi que l’exercice illégal de la profession de pharmacien et de médecin, la Brigade des stupéfiants reste plus que jamais déterminée à jouer sa partition « .

A.DIARRA

Source : l’Indépendant

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Kayes : L’association des gros bras lance le championnat inter quartier

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L’antenne régionale de l’Association nationale des gros bras a organisé un championnat inter quartier, le 19 décembre dernier à Kayes, en collaboration avec le conseil communal de la jeunesse. La cérémonie de lancement s’est déroulée à la place de l’Indépendance de Kayes, en présence des membres et des sympathisants de cette discipline sportive et des responsables locaux de la jeunesse. L’organisation de ce tournoi a permis à la population de la Cité des rails de découvrir la discipline. Le gros bras est un sport qui est pratiqué généralement par des gens qui impressionnent par leur taille et la musculature de leurs membres supérieurs.


Dans une brève allocution, le président de l’antenne régionale des gros bras de Kayes, Cheick Sadibou Niang, a salué l’organisation du tournoi, avant de marteler que l’Association nationale des gros bras «n’est pas une association de bandits ou de délinquants, mais une association sportive comme toutes les autres».

«Le gros bras est un sport comme le football, le basket-ball, l’athlétisme… Notre ambition est de promouvoir cette discipline à travers le pays et c’est pour cette raison que nous sommes là aujourd’hui», a insisté Cheick Sadibou Niang, sous les ovations des spectateurs. Le président du conseil communal de la jeunesse de Kayes abondera dans le même sens. Il a salué l’initiative de l’Association nationale des gros bras et déclaré que la compétition va certainement contribuer au développement du sport local. «Kayes adresse ses remerciements à l’Association nationale des gros bras pour le choix porté sur notre région. C’est un honneur et une fierté pour nous d’abriter ce tournoi», a dit Daouda Camara. Place a été faite aux combats qui feront vibrer le public pendant de longues minutes.
Bandé Moussa
SISSOKO
Amap-Kayes

Source: Journal l’Essor-Mali

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Coopération Mali- Algérie : Le premier contingent des bénéficiaires des Bourses d’études sportives quitte Bamako ce mercredi

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La cérémonie de mise en route des candidats retenus pour les  Bourses d’études sportives octroyées par l’Algérie à notre pays,  s’est déroulée mardi  à Bamako, sous la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, Arouna Modibo Touré, en présence de l’ambassadeur d’Algérie au Mali, Chebihi Boualem, a constaté l’AMAP.

 

Les bénéficiaires qui sont au nombre de 40, repartis en 3 filières à savoir les entraîneurs de football et de basket-ball, les bacheliers et les détenteurs de diplômes post universitaires, ont reçu des mains du ministre Touré le drapeau national.

Arouna Modibo Touré a remercié l’ambassade d’Algérie pour l’octroi des bourses d’études sportives à notre pays, rappelant que le partenaire algérien a toujours respecté ses engagements vis-à-vis du Mali.

«Merci beaucoup à notre ami et frère pour l’attribution de ces bourses. C’est la quatrième fois que l’Algérie octroie des bourses d’études sportives à notre pays. Transmettez les salutations du président de la République, du Premier ministre et de tout le peuple malien aux autorités algériennes», a déclaré le ministre Touré, avant de s’adresser aux 40 boursiers.

«Respectez les lois et règlements du pays d’accueil, c’est très important. Il vous faut une assiduité absolue aux cours. Comportez-vous bien, vous devez être exemplaires pour vendre l’image du pays. Développez l’esprit de solidarité et de camaraderie entre vous, soyez solidaires dans le meilleur comme dans le pire. La promotion de l’esprit de tolérance, d’endurance, d’acceptation de certaines difficultés en se disant que le temps à passer en Algérie n’est qu’un séjour doivent être votre crédo», a-t-il conclu.

Le premier contingent qui quitte Bamako ce mercredi est composé de bacheliers qui seront suivis, jeudi de boursiers détenteurs de diplômes universitaires et le départ du 3ème   contingent est prévu vendredi.

La durée de la formation des entraîneurs est d’une année contre quatre ans pour les bacheliers et 2 ans pour le management du sport.

La cérémonie s’est déroulée en présence du président de la commission de dépouillement, Diakaridia Diakité, de plusieurs responsables du monde du sport et des parents des bénéficiaires.

DB/KM

(AMAP)

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Arrestation du 1er adjoint au maire de Niono, Tidiany Coulibaly pour ” incitation à la violence ” Dr Oumar Mariko dénonce «un complot contre SADI»

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Suite aux enquêtes sur l’assassinat de Feu le commissaire de police de la ville de Niono, Idrissa Tounkara, lors d’une manifestation des jeunes, le 19 septembre 2019 dernier, le 1er adjoint au maire de Niono, Tidiany Coulibaly, élu communal du parti SADI a été interpellé et emprisonné pour  » incitation à la violence « .

 

Le président dudit parti, Dr Oumar Mariko a tenu, hier mardi 7 janvier, une conférence de presse au siège de la Radio Kayira pour dénoncer sur ladite interpellation.

Lire la suite dans l’Indépendant

Source : l’Indépendant

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SPORT DE MASSE AU BANCONI : Des journalistes honorés

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Tableau d’honneur pour Yacouba Dansoko d’Africable et Ciwara pour Guedjoul Camara de la Radio Jèkafo.

 

Les anciens du Lionceau football club de Banconi Dianguinébougou et la Génération 80, plus les vétérans des Aigles du Mali, se sont affrontés dans un match gala sur le terrain Chérif Haïdara de Banconi-Dianguinébougou. C’était le mercredi, 1er janvier 2020, sous le parrainage de l’honorable Wali Diawara.

Sous la présidence du président de l’Amicale des footballeurs lionceaux, Mamadou Sangaré dit Loh, en présence de Clément Dembélé, Soufi Adama Traoré et un parterre d’anciens joueurs et vétérans du football malien, la rencontre s’est jouée dans une ambiance bon enfant.

Deux temps forts ont marqué ce match. Le premier a vu la victoire des Lionceaux (3-2) sur Génération 80 aux termes du temps réglementaire. Le second temps fort a été meublé par la remise de récompenses à deux journalistes sportifs par le parrain du match, l’honorable Wali Diawara. Le tableau d’honneur de reconnaissance du mérite a été remis à Yacouba Dansoko, journaliste sportif à Africable Télévision et la seconde reconnaissance de mérite Ciwara a été décernée à Guédiouma Camara dit Guedjoul, reporter sportif à la Radio Jèkafo.

L’honorable Wali Diawara s’est dit honoré par la jeunesse de Banconi et surtout les vétérans et l’ensemble des joueurs du lionceau club de Dianguinébougou, de l’avoir choisi pour parrainer le match gala de ce 1er janvier 2020.

“C’est l’occasion pour moi de saluer, encourager et remercier les organisateurs pour cette initiative. Cette cérémonie est devenue une coutume pour la jeunesse et surtout les anciens joueurs de Dianguinébougou. Les deux récipiendaires (Yacouba Dansoko et Guedjoul) méritent bien ces reconnaissances pour leur soutien inconditionnel aux Lionceaux depuis des années au plan médiatique”, a affirmé le parrain.

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PROTECTION CIVILE : Vingt-trois nouveaux lieutenants-colonels

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Le directeur général de la Protection civile, le colonel Seydou Doumbia a présidé, le lundi 6 janvier 2020, la grande cérémonie aux couleurs couplées au port de galon des nouveaux lieutenants-colonels de la Protection civile du Mali.

 

Ils étaient nombreux, officiers, sous-officiers et sapeurs de rang à participer à la grande cérémonie aux couleurs dans la cour de l’Ecole nationale de la Protection civile à Sogoniko. La grande cérémonie aux couleurs, organisée le premier lundi de chaque mois, réunit toutes les unités de la protection civile de Bamako et de Kati afin de permettre des échanges entre la hiérarchie et la base de la protection civile.

Celle de ce lundi 6 janvier 2020 était couplée à la cérémonie de port de galon des nouveaux lieutenants-colonels de la protection civile. Ils sont en effet 23 sapeurs-pompiers à recevoir leurs galons de lieutenant-colonel, cette année. Ce qui porte à 53 le nombre de lieutenants-colonels en activité au sein de la protection civile dans notre pays.

Selon le directeur général de la Protection civile, le colonel Seydou Doumbia, l’accession de 23 sapeurs-pompiers au grade de lieutenant-colonel est un événement particulier, plein de signification. Il a remercié le personnel de la protection civile du Mali pour le travail abattu au cours de l’année écoulée.

“En 2019, face aux accidents de la route, aux inondations, aux incendies, aux effondrements d’immeubles, les sapeurs-pompiers ont fait preuve de professionnalisme, de rigueur, d’assiduité et de patriotisme. Ce qui leur a permis de venir à bout de ces catastrophes. Nous les incitons à redoubler davantage d’efforts parce que nous sommes là pour assister et secourir les populations devant n’importe quelle catastrophe”, ajoutera-t-il.

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IBRAHIM BOUBACAR KEITA : “Nos recettes augmentent, nos dépenses publiques de plus en plus maîtrisées”

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Dans son adresse à la nation, le président de la République a déclaré qu’en dépit de la crise insidieuse qui nous affecte, l’économie nationale se révèle d’une remarquable résilience, avec un taux de croissance soutenu et une inflation maîtrisée. Selon lui, les recettes augmentent et les dépenses publiques sont de plus en plus maîtrisées.

 

Si l’année 2019 a été une année noire pour notre pays sur le plan sécuritaire, en revanche elle a été positive sur le plan économique, à en croire le président de la République lors de son adresse de nouvel an à la nation.

Pour le président de la République Ibrahim Boubacar Kéita, la crise que traverse notre pays n’a pas eu raison de l’économie nationale qui résiste remarquablement. “En effet, malgré la crise insidieuse qui nous affecte, l’économie nationale se révèle d’une remarquable résilience, avec un taux de croissance soutenu et une inflation maîtrisée”, a dit IBK.

Selon lui, il ne s’agit pas là d’un phénomène conjoncturel, mais d’une tendance lourde depuis 2013 où le taux de croissance économique annuel est de 5 % : “Nos recettes augmentent et nos dépenses publiques sont de plus en plus maîtrisées”.

Autre annonce forte présidentielle, c’est la position idéale du Mali dans la zone Cédéao. “Avec un encours de dette en pourcentage du PIB de l’ordre de 37 % pour une tolérance de 70 % dans l’espace Cédéao, le Mali est l’un des pays les moins endettés de l’Afrique de l’Ouest. Son potentiel d’endettement est loin d’être entamé alors que ses dépenses d’investissement en 2019, ont représenté 34,8 % de ses recettes fiscales, c’est-à-dire largement au-dessus de la norme minimale de 20 %, fixée par l’Uémoa et la Cédéao”, a renchéri le président.

A en croire au président IBK, compte tenu de tous ces efforts, en août 2019, le conseil d’administration du Fonds monétaire international, a approuvé un nouveau programme de Facilité élargie de crédits pour un montant de près de 192 millions de dollars US, donnant ainsi un signal positif à nos autres partenaires techniques et financiers.

 

Production agricole record

L’autre bonne nouvelle annoncée par le président de la République concerne les performances de la production céréalières 2018-2019 au Mali. “Grâce à l’allocation de 15 % du budget national alloué au secteur agricole, conjugué à une bonne pluviosité et au légendaire culte de l’effort du paysan malien, des performances records ont été obtenues. Sans précédent dans les statistiques de notre pays, la production céréalière dépasse les 10 millions de tonnes en 2018-2019”.

IBK a aussi mis l’accent sur la forte progression du secteur cotonnier avec 728 600 tonnes durant la campagne écoulée. Le secteur cotonnier connaît un véritable essor avec une augmentation de 65,57 %, selon le président. Avec cette production record a rapporté 186 milliards de F CFA, d’un niveau jamais atteint de recettes en faveur des cotonculteurs.

 

L’Etat est pris à la gorge par l’effort de guerre

Malgré cette bonne santé de l’économie, l’Etat est pris à la gorge par l’effort de guerre. “Parce que le Mali lui-même est ébranlé dans ses fondements, parce qu’il faut tout faire pour empêcher l’effondrement de notre Etat, une proportion de plus en plus importante du budget est consacrée à l’équipement, au recrutement, à la formation et la montée en puissance de nos forces de sécurité et de défense, face à des adversaires qui gagnent redoutablement en efficacité. Par la force des choses, mes chers compatriotes, l’investissement dans la guerre est devenu notre première source de dépenses”, a laissé entendre IBK.

Selon lui, ce secteur absorbe 24 % des ressources budgétaires de notre pays où tous les investissements sont prioritaires et urgents.

 

“Je ferai tout mon possible pour diligenter la mise en œuvre des résolutions et recommandations validées”

Le président de la République a profité de son discours à la nation pour rassurer le peuple malien de sa détermination à appliquer les résolutions et recommandations validées lors du dialogue national inclusif (DNI).

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DEMARRAGE DES TRAVAUX DE CONSTRUCTION DE LA RN 30 : Dioïla, Massigui, Koualé donnent un délai de six mois au gouvernement

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Le gouvernement ne dispose que de six mois pour diligenter les travaux de bitumage de la route nationale N°30. Ce délai a été donné par le Collectif Baniko Sirako lors d’un meeting à Masssigui en présence de plusieurs villages de Baniko.

 

Dans une déclaration lue lors du meeting d’information et de sensibilisation à Massigui, le Collectif Baniko Sirako exige de l’Etat du Mali le démarrage des travaux du bitumage de la route nationale N°30 (RN30) de Dioïla à Koualé en passant par Massigui. Et pour cela, il donne un délai de six mois aux autorités compétentes avant de prendre des mesures qui s’imposent. « Nous Collectif Baniko sirako, interpellons le président de la République et son gouvernement à diligenter le projet de bitumage de la route nationale N° 30, précisément du tronçon Dioïla, Massigui, Koualé, dans le plus bref délai. Nous exigeons le démarrage des travaux de notre route dans le premier semestre de l’année 2020, sans quoi nous nous réservons le droit de déclencher toutes les actions nécessaires conduisant à l’aboutissement de notre requête », précise la déclaration.

Cette nouvelle stratégie sera mise en œuvre après plusieurs promesses et tentatives d’endormissement et des années d’attente des populations de Baniko.  Cette question de route demeure la principale préoccupation des populations de la localité depuis des décennies, à cause de son importance dans le développement socioéconomique de Baniko. « Le bitumage de cette route ouvre la voie au développement de Baniko. Nous sommes une zone de production agricole par excellence, mais faute de route on ne profite pas bien de nos productions. Et les produits qui nous viennent d’ailleurs sont chers à cause du mauvais état de la route », déclare Youssouf Haïdara, parrain du Collectif Baniko Sirako.

Un mouvement apolitique

Ce mouvement revendicateur de la construction de la route de l’espoir pour le Baniko est tout sauf politique et ne s’oppose aux intérêts d’aucun homme politique. « Le Collectif Baniko Sirako est un mouvement apolitique. Sa principale motivation est le bitumage de la RN30. Nous ne sommes contre aucun homme politique. Au contraire nous les aidons, à travers ce projet, dans leur combat pour la construction de notre route », a précisé M. Haïdara.

Les membres du Collectif confirment cette assertion de leur parrain. « Nous ne sommes contre aucun politique de notre localité. Pour preuve, le Collectif est composé des jeunes de tous les bords politiques.  Un moment donné, il faut mettre de côté nos divergences pour défendre l’intérêt commun. Et il se trouve aujourd’hui que la question du bitumage de la RN30 est une préoccupation générale de Baniko », a indiqué Nourou N’Golo Sidibé, membre du Collectif.

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REPRISE DU PROCES AMADOU AYA SANOGO ET CO CE LUNDI: Malick Coulibaly saura-t-il relevé le défi ?

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Après le renvoi du premier procès en décembre 2015 de Amadou Aya Sanogo et co, à Sikasso, par l’ex-garde des sceaux, Me Mamadou Ismaël Konaté, la justice malienne sous le leadership de Me Malick Coulibaly s’organise pour la reprise du procès le lundi prochain. Quelques difficultés pointent à l’horizon.

 

Enlèvement de personnes, d’assassinat et de complicité des faits reprochés par l’instruction du 2e cabinet du Tribunal de grande instance de la Commune II à certains dignitaires du CNDRE notamment Issa Tangara, Amassongo Dolo, Oumarou Sanafo dit Kif Kif, Amadou Haya Sanogo, Mamadou Koné, Fousseyni Diarra dit Fouss, Christophe Dembélé, Blonkoro Samaké, Mady Oulé Dembélé, Siriman FANE, Siméon Keita, Cheickna Siby, Mamadou Cissé, Tiémoko Adama Diarra, Ibrahim Keita, Soiba DIarra, Drissa Coulibaly, Lassana Singaré, Yamoussa Camara, Tahirou Mariko, Amadou Konaré,  Mohamed Issa Ouedrago,  Bakary Coulibaly, Ibrahim Boua Koné, Ibrahima Dahirou Dembélé, basé à Kati en 2012. Du moins de l’avis des juristes, ces faits sont prévus et punis par les articles 24, 25,199, 200 et 240 du Code Pénal.

Les faits ! 

Dans la nuit du 30 avril au 1er mai 2012, le Régiment des commandos parachutistes (33eme RCP) dirigé par le colonel Abdine Guindo, concoctait un plan d’opération contre le CNDRE basé à Kati. Ainsi, un groupe monta à l’assaut du Camp Soundiata de Kati, siège des anciens mutins du CNRDRE. Un second groupe se dirigea sur l’ORTM où les agents de sécurité sont maitrisés. La radio prise et un dernier groupe lança un assaut sur l’aéroport qui fut très brièvement sous contrôle du 33e Régiment des commandos parachutistes. La riposte fut immédiate et les militaires de Kati repoussèrent les différentes attaques au prix de plusieurs morts et blessés. Des militaires appartenant au corps des bérets rouges furent faits prisonniers et certains d’entre eux seront montrés à la télévision nationale. Parmi ceux-ci, des éléments du camp de Djicoroni Para, des policiers et des militaires d’autres unités sont conduits au Camp I de la Gendarmerie nationale où débutera l’enquête préliminaire. Quant aux autres éléments du 33e RCP, ils seront détenus au camp de Kati comme prisonniers. Les parents et proches de ces éléments dans leur quête de s’enquérir des nouvelles de ces militaires se heurteront à un mur de silence voire d’absence de nouvelles. Aucune information quant au lieu de détention de ces militaires alors que leur compagnon d’infortune faisaient déjà circuler la nouvelle d’une sinistre exécution nocturne quelques jours après les événements au cours desquels ils avaient été arrêtés. Certains militaires iront jusqu’à nuitamment menottés. Les visages bandés et conduits vers une destination inconnue. Devant la persistance des rumeurs, le parquet général par la lettre n 021 du 21 Juillet 2012 instruit au Procureur de la République près du Tribunal de grande instance de la commune II du district de Bamako d’ouvrir une enquête et par la suite requérir l’ouverture d’une information contre X pour enlèvement de personnes. A la suite de cette information, plusieurs officiers et sous-officiers qui étaient membre du CNDRE sont inculpés des faits d’enlèvement de personnes dont parmi le général Amadou Haya Sanogo, les capitaines, Issa Tangara, Amassongo Dolo, Christophe Dembélé, les sous-officiers, Ousmane Sanafo dit Kif Kif, Mamadou Koné, Fousseyni Diarra dit Fouss et autres qui lors des premières comparutions reconnu formellement les faits d’enlèvement et d’assassinat d’un certain nombre d’éléments du 33e RCP et avouaient y avoir participé. En plus de cette double reconnaissance des faits, ils indiquèrent dans les moindres détails l’endroit où étaient sommairement enterrés les victimes.  Le magistrat instructeur ordonnait un transport sur les lieux, à savoir dans les environs du village de Diago non loin de la cimenterie. Dans la campagne au beau milieu d’un champ de cultures, Fousseyni Diarra et Mamadou Koné deux des personnages clés dans cette affaire, indiquaient l’endroit exact où se trouvaient les restes des corps des suppliciés. Une exhumation était faite par les agents de la police technique et scientifique du service d’investigation judiciaire de la Gendarmerie nationale. Ainsi dans une fosse, 21 squelettes ont été exhumés. Sur la base de ces faits nouveaux, le parquet, par un réquisitoire supplétif en date de décembre 2015, requérait l’extension de l’information à ces faits nouveaux pour inclure les crimes d’assassinats et de complicité d’assassinats. Tant au cours de leur interrogatoire de première comparution et lors des confrontations, l’adjudant-chef Mamadou Koné et l’adjudant-chef Fousseyni Diarra dit Fouss ne variaient guère sur leurs déclarations. Il en sera de même pour Adama Tiemoko Diarra, lequel a également reconnu les faits, à partir de la version des faits tenue par Fousseyni Diarra dit Fouss, Mamadou Koné et Adama Tiemoko Diarra. Selon eux, c’est là dans la nuit du 2 mai 2012, qu’une liste fut remise fut donné à l’adjudant-chef Mamadou KONE par le lieutenant Soiba Diarra. Mais avant, le lieutenant Soiba aurait demandé à Mamadou KONE de creuser une fosse. Ainsi, tard dans la nue, un camion vint se garer près de l’endroit où étaient gardé les bérets. L’appel sera fait et chaque militaire appelé sortait de sa cellule les mains attachées au dos, les yeux bandés. Ils furent 21 à être embarqués dans le camion mais le 21e militaire en la personne de Mohamed Diarra a miraculeusement débarqué sans que l’on sache pourquoi et remplacé par lieutenant Aboubacar Kola Cissé qui était détenu à l’Ecole d’Application de Kati et dont la garde relevait du capitaine Amassongo Dolo. Et c’est Mohamed Diarra qui était parmi les 21 militaires embarqués qui a témoigné le premier de l’issue de l’embarquement nocturne de ses compagnons d’arme suivi de leur exécution non loin de Diago. Au moment où les 20 suppliciés étaient embarqués, Lassana Singaré et Cheickna Siby allaient chercher le lieutenant Aboubacar Kola Cissé, détenu à l’Ecole d’application de Kati pour compléter à nouveau la liste à 21 personnes. Tout au long du déroulement des événements du 30 avril au 1er mai 2012, en plus des militaires du 33e Régiment des Commandos Parachutistes, certains policiers furent recherchés arrêtés et violentés par leurs compagnons de corps. Au nombre de ces victimes, figurent les agents de police Adama Coulibaly et un certain Ouologuem. Mais ces derniers sont accusés essentiellement comme étant les tortionnaires en l’occurrence, les policiers Siméon Keita et Siriman Fané. Au cours de l’information, plusieurs militaires de fonctions différentes feront l’objet d’inculpation de la part du magistrat instructeur pour des faits de complicité.

La complicité de Dahirou et Yamoussa Camara

Le procès qui s’ouvre le lundi prochain est le 2 e après celui de 2015 qui avait été suspendu pour manque de respect de certaines formalités. Et en plus d’une question de forme, cette année les difficultés majeures résident au niveau de certains accusés. Yamoussa Camara, ancien ministre de la Défense le Général et le chef d’Etat-major général des armées, le général Ibrahim Dahirou Dembélé, à l’époque, sont accusés pour avoir signé des actes portant mise à disposition de personnel militaire dans l’opération « Badenko au Nord, lesquelles décisions concernaient également les bérets rouges portés disparus.  Plusieurs sous-officiers de l’entourage du général Amadou Aya Sanogo seront également inculpés pour des cas de complicité.

Alors que le fait d’enlever des personnes fussent- elles des militaires, de les conduire dans les environs de Diago et de les faire exécuter par des agents en uniforme en marge de la hiérarchie militaire et ne répondant à aucun ordre légal, ne revêtait donc pas de caractère militaire.

Après les vérifications et examens médicaux légaux préliminaires ont conclu qu’il s’ agissait des corps des 21 bérets rouges disparus : Aboubacar Kola CISSE, Youba DIARRA, Pagalé SAGARA, Yéba TRAORE, Samba DIARRA, Adama Bagayoko, Ibrahim Maiga, Abdoul Karim KEITA, Bamory Diarra, Aboubacar Poudiougou, Bouyé Diallo, Mamadi dit Bakoroba Kané, Kabiné KEÏTA, Bourama NIARE, Bourama Coulibaly, Kléné Niara, Bazoumana Kaloussy, Youssouf Bamba et Boncana Maiga.

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EN UN MOT: Période d’incertitude

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Même si cela ne se voit pas, la tension commence à monter dans les différents états-majors politiques à quelques quatre petits mois des élections législatives qui s’annoncent des plus indécises.

 

On est dans une situation presque inédite puisque les élections des élus de la nation se tenaient dans la foulée de la présidentielle, ce qui avait toujours favorisé les candidats de la majorité présidentielle. Cela ne sera pas le cas cette fois-ci.

L’incertitude est d’autant plus grande que le scrutin se tiendra non seulement dans une période de désamour entre les politiques et les citoyens mais également à un moment de vaches maigres pour tout le monde. Ce qui fera qu’on aura à faire à une compétition très ouverte et malin celui qui saura prédire le parti qui sortira majoritaire.

La seule certitude qui existe aujourd’hui est d’une part que le gouvernement est tenu d’organiser ces législatives et d’autre part, de nombreux partis voleront en éclats au moment de choisir leurs candidats comme c’est de coutume dans notre pays.

DAK

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AFFAIRE PRESIDENT DU CSDM contre Moussa Diakité: Le procès renvoyé au 17 mars prochain

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Hier,  le Tribunal de Grande instance de la commune III du district de Bamako a renvoyé au 17 mars prochain le procès opposant le président du Conseil supérieur de la diaspora (CSDM), Mohamed Chérif Haidara à Moussa Diakité. 

 

Le président du CSDM, Chérif Mohamed Haïdara, avait porté plainte, il y a quelques semaines, contre Moussa Diakité pour usurpation de titre, de fonctions et autres. L’accusé Moussa Diakité ayant refusé de prendre la notification de l’huissier pour le procès, le juge a renvoyé l’audience au 17 mars prochain.

Rappelons que le bureau du CSDM (Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne) en Guinée a dénoncé depuis quelques mois, des actes et des comportements dont est responsable Moussa Diakité, ancien membre de ladite organisation.

Selon les explications du plaignant, Mohamed Chérif Haïdara, les membres du CSDM  expriment tout leur étonnement quant aux agissements du Moussa Diakité. “Depuis deux ans que Moussa Diakité est exclu des structures de notre organisation. Nous ne comprenons pas ses motivations. Pourquoi, il continue à toujours revendiquer, dans les medias, le titre de président du bureau du CSDM Guinée”, s’indigne M. Haïdara.

Toujours de l’avis du président du CSDM, Moussa Diakité est conscient lui-même qu’il n’est pas le président du CSDM Guinée. “Les attaques et les accusations de Moussa Diakité contre nous ne seront plus tolérées et c’est pour cela que nous avons décidé de porter plainte”,  a-t-il ajouté. Selon lui, quatre chefs d’accusation sont retenus contre lui. Il s’agit de : simulation d’infraction : peine encourue (1 mois à 3 ans d’emprisonnement et une amende de 20 000 à 100 000 F CFA); dénonciation calomnieuse (peine encourue 1 mois à 3 ans d’emprisonnement et une amende de 25 000 à 300 000 F CFA); tortures (peine encourue 1 à 5 ans d’emprisonnement); Usurpation de titres ou de fonctions (peine encourue 6 mois à 2 ans d’emprisonnement et une amende de 25 000 à 50 000 F CFA).

Abdrahamane Diamouténé 

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Septième cas d’assassinat à Fana : Le chef de village prêt à agir !

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Une grande rencontre s’est tenue le lundi 6 janvier 2019 dans l’enceinte de la mairie de Fana, région de Koulikoro. Ladite rencontre a enregistré la présence de plusieurs autorités locales,  notamment les députés de Dïoila et de Massiki ainsi que le procureur de Dïoila et les légitimités traditionnelles des sept communes de l’arrondissement de Fana. Cette assemblée avait comme objectif, réfléchir sur les assassinats à répétition à Fana.

 

Ramata Diarra, fillette albinos de cinq ans décapitée dans la nuit du 12 au 13 mai 2018 ; une femme handicapée mentale et sa fille d’à peine deux ans, en avril de la même année ; un autre, considéré comme fou, retrouvé décapité au bord de la voie principale, qui relie Fana à Ségou ; en mars 2019, une autre femme commerçante et sa fille, retrouvées sans tête dans leur domicile ; le 24 juillet 2019, une dérangée mentale a été retrouvée décapitée entre le campement et le marché de Fana. Le cas le plus récent est celui de Banafa Touré survenu dans la nuit du quatre au cinq janvier 2020. La liste des assassinats à Fana s’allonge.

L’après-midi du dimanche 5 janvier 2020 n’a pas été comme celui des autres dans cette ville, située à quelque cent vingt kilomètres de Bamako. Les armes des « assoiffés du sang » ne connaissent aucun répit à Fana depuis 2018. Le corps sans vie de ce gardien de l’antenne du réseau Malitel à Fana a été retrouvé, par sa famille. Agé de 28 ans, Banafa Touré est originaire d’un village à 6 kilomètres de Fana.

Aussitôt informées, les autorités de la localité ainsi que les forces de l’ordre se sont rendues sur le lieu pour constater le corps sans vie étendu accompagné de la tête coupée et déposée à côté de la victime.

Comme les précédents assassinats, aucun organe de la victime n’a été emporté. Selon les hypothèses, les auteurs de ces crimes auraient des besoins de sang et non d’organes humains.

Ce septième cas d’assassinat à Fana a fait réagir la population, notamment les autorités locales. A l’occasion d’une grande rencontre à la mairie de la commune du Guégnéka, le lundi 6 janvier dernier, sur la problématique de ces crimes, le chef de village de Fana, Adama Traoré, a haussé le ton pour demander aux autorités de leur donner l’autorisation de retrouver les coupables. Cette demande a suscité d’énormes questions : de quel genre d’autorisation s’agit-il ? Que veut faire le chef de village ? Le vieux Traoré a aussitôt précisé qu’il n’a ni l’intention de tuer ni de blesser qui que ce soit, mais juste d’agir pour que cesse ces scènes macabres dans sa ville.

Le député de Dioïla, Yiri Kéita, après avoir écouté les uns et les autres, dit avoir pris note. « Aujourd’hui, le nom de Fana donne peur à certains à cause de toutes ces situations », a-t-il indiqué. Il a alors invité les forces de l’ordre présentes : la gendarmerie et le commissariat, à mieux coopérer avec la population en mettant en place un numéro vert afin qu’elles restent en contact avec les civils dans le cadre de la sécurisation de cette zone.

Rappelons qu’en juillet 2019, Aminata Coulibaly, (dite « Lah »), a été attaquée jusque dans sa chambre, à Fana, par un jeune homme avec un couteau. Un incident survenu alors que la jeune dame se trouvait en état de grossesse.

Comme toujours, les autorités se sont montrées décidées à faire la lumière sur toutes ces situations et à asseoir une sécurité durable dans toute la localité.

Fousseni TOGOLA

Source : LE PAYS

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Enseignement supérieur : Les diplômes de l’INTEC-SUP reconnus par le CAMES

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Pour informer l’opinion nationale et internationale sur la rentrée  des classes, pour les étudiants en Master prévue le ­6 janvier 2020,  l’institut supérieur des techniques économiques comptables et commerciales (INTEC-SUP) a organisé une conférence de presse, le lundi 30 décembre 2019, au sein de son établissement à Hamdallaye ACI 2000. Une occasion saisie par le Directeur général, Boubacar Kanté ; son adjoint,  Moctar Komé et le secrétaire général,  Kalil Dembélé, pour présenter les grandes innovations en vue d’améliorer  la qualité de l’enseignement au sein de cet institut.

 

Une des grandes innovations citées de l’INTEC-SUP lors de cette conférence de presse, c’est la reconnaissance de ses diplômes par le CAMES (Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur). Cette reconnaissance est, selon les responsables,  la suite d’un long processus de validation des  programmes de formation par douze (12) professeurs de rang A, dont six (6) professeurs agrégés CAMES et six (6) nationaux. Ladite innovation vient s’ajouter à la reconnaissance des diplômes de l’institut par l’Etat malien, sans noter également   l’existence d’un partenariat fécond, non seulement avec les universités nationales, mais aussi étrangères, notamment dans le cadre de l’expertise-comptable de l’UEMOA. Les responsables de cet établissement d’enseignement supérieur privé n’ont pas manqué de  signaler  la disponibilité d’un corps d’enseignement de qualité, professionnel et international  pour assurer les formations   en master dans les domaines tels que  la comptabilité-control-audit, assurance banque-finance, évaluation et gestion de projet, journalisme et communication, marketing et management, management des ressources humaines, management logistique et transport, méthode informatique appliquée à la gestion d’entreprise (MIAGE), réseaux informatiques et télécommunications, droit public, droit privé, droit des affaires et fiscalité, droit  notarial et foncier, relations internationales et diplomatie, etc. Le directeur général, Boubacar Kanté a indiqué qu’au-delà du souci de l’amélioration de la  qualité de l’enseignement, notamment   à travers l’instauration d’un conseil scientifique et d’une cellule d’assurance de la qualité, l’INTEC-SUP se présente depuis un moment,  comme un incubateur de projets de ses étudiants. Elle place, selon les conférenciers,  la réussite de l’étudiant au cœur de ses préoccupations  tout en  soutenant ses projets auprès des partenaires   techniques et financiers. Le directeur général adjoint,  Moctar Komé,  a de son côté indiqué  les intérêts  de cette reconnaissance internationale, qui selon lui, en plus de l’amélioration de la  qualité de l’enseignement, offre également aux étudiants étrangers de  retour dans leurs pays, les mêmes avantages que  l’État malien offre aux étudiants de l’INTEC-SUP au Mali. Le directeur général adjoint a fini  par annoncer   la grande réduction de 20%, particulièrement   pour cette rentrée  2019-2020. Tout en signalant le nombre limité   des  places, M. Komé a indiqué  que les inscriptions continueront durant tout le mois de janvier.

Issa Djiguiba

Source : LE PAYS

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Les résolutions du Dialogue national inclusif en débat sur Radio Klédu : Opposition et majorité s’accordent sur la nécessité de sauver le Mali

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Les conclusions du Dialogue national inclusif étaient en débat le jeudi 02 janvier 2020 entre des représentants de l’opposition et de la majorité autour de Kassim Traoré dans sa traditionnelle émission « Débat politique » de la Radio Klédu. Il y a certes une multitude de recommandations, mais quatre grandes résolutions en sont sorties comme actions prioritaires. Il s’agit de la tenue des élections législatives avant le 02 mai 2020 ; la révision constitutionnelle ; la relecture de certaines dispositions de l’Accord pour la paix issu des pourparlers d’Alger ;  la mobilisation de toutes les ressources nationales pour ramener la paix et la sécurité dans le pays afin de redéployer l’administration et l’armée sur l’ensemble du territoire national.

 

Ainsi Kassim Traoré avait comme invités M. Boubou Doucouré, Chef de la Cellule de Communication de la Primature, M. Abdramane Diallo du PACP, Me Abdoulaye Sidibé de ADP-Maliba pour défendre le bien-fondé de la tenue du Dialogue national inclusif, mais aussi donner toutes les assurances que les conclusions issues de ce dialogue seront mises en œuvre. De l’autre côté, se trouvait Abdrahamane Diarra de l’URD et Dr Aboubacar Sidiki Fomba de l’ADPM, comme tous les représentants de partis qui n’ont pas pris part au dialogue. Il s’agissait surtout de par ce débat de parler des résolutions du Dialogue national inclusif qui s’est tenu du 14 au 22 décembre 2019  à Bamako.

Comme il fallait s’y attendre, le débat a été très houleux, mais très constructif, tous les deux camps ayant fait montre d’un certain nombre de convergence de vues sur certaines questions essentielles, comme l’urgence de la nécessité d’un dialogue pour tous pour sauver le Mali… Si ceux qui ont participé au DNI et qui étaient autour de la table ont soutenu tout le mérite de ce dialogue qui aura permis aux Maliens de se retrouver, de se parler et de proposer des pistes de solutions de sortie de crise, ceux qui n’y étaient pas ont tenu tout un autre discours.

Ce qui n’est pas nouveau, mais la vérité est que le DNI a tenu toutes ses promesses. Quant à la mise en œuvre des résolutions, le responsable de la cellule de communication et des relations publiques de la Primature, Boubou Doucouré, a levé toute équivoque, en indiquant que le gouvernement fera en sorte que toutes les résolutions soient mises en œuvre le plus tôt possible pour aller de l’avant. Mieux, fera-t-il savoir, un calendrier a été défini pour la mise en œuvre des quatre résolutions du DNI, et le Triumvirat et le comité national d’organisation du dialogue national inclusif sont déjà chargés de veiller sur le bon déroulement des travaux. Les partis politiques signataires de l’accord politique, les représentants de la société civile et de toutes les composantes de notre société feront partie du mécanisme de la mise en œuvre des résolutions du DNI.

M. Abdramane Diallo ‘’Kaou’’du PACP et Me Abdoulaye Sidibé ADP-Maliba ont donné toute l’assurance que le Président IBK et le gouvernement vont s’atteler à la mise en œuvre des résolutions du DNI, car ce sont les maliens dans leur ensemble qui ont discuté pour aboutir à ces résolutions. Aussi pensent-ils que la situation actuelle du Mali dépasse le clivage opposition-majorité-société civile. Une manière pour eux d’appeler chacun à apporter sa pierre à l’édification de la nation malienne en ce moment crucial de notre histoire. Aussi restent-ils convaincus que l’application des résolutions du DNI permettra de lever bien d’obstacles pour la paix et le développement du Mali.

Les sieurs Abdramane Diarra de l’URD et Aboubacar Sidiki Fomba de l’ADPM, sans être d’accord avec les camarades en face, ont tout de même reconnu qu’il y a urgence de mettre tout en œuvre pour sauver le Mali. Aussi estiment-ils que leur souhait est de voir les résolutions du DNI permettre au Mali de retrouver la paix afin d’amorcer son développement pour le bonheur des Maliens qui ont trop souffert de la crise. « Nul n’a intérêt à souhaiter que ce pays s’effondre. Même si nous n’avons pas participé au DNI, nous adhérons aux résolutions, si elles peuvent permettre de sortir notre pays de l’ornière. Nous n’avons aucun intérêt à voir le pays s’enfoncer dans le gouffre  », ont-ils fait savoir en substance. Et c’est le Mali gagne !

Seydou DIALLO

Source : LE PAYS

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CPI : L’ouverture du procès du djihadiste malien, Al Hassan, prévue pour le 14 juillet

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La Cour pénale internationale, CPI, a rendu public ce lundi 6 janvier 2020, la date d’ouverture du procès d’Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud.  

 

Le 14 juillet 2020 s’ouvrira à la Cour pénale Internationale (CPI), le procès d’Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud. La présentation des éléments de preuve de l’accusation est prévue pour commencer le 25 août 2020. C’est l’information donnée par la CPI ce lundi 6 janvier 2020 à travers un communiqué de presse.

S’agissant des raisons ayant motivées le choix de ces dates par la Chambre première instance X de la Cour pénale Internationale, le communiqué précise que c’est en vue de noter « les observations respectives de l’Accusation et de la Défense, ainsi qu’en vue du temps nécessaire à la divulgation des éléments de preuves et autre documents ».

Une autre raison pouvant motiver ce choix, le Statut de Rome qui exige à ce que l’accusé soit « jugé sans retard injustifié et à ce que le procès soit équitable et rapide, tout en tenant compte du devoir de veiller à ce que l’accusé dispose du temps et des éléments nécessaires pour préparer sa défense ». En plus de tous ces paramètres, les obligations de la CPI en matière de protection des  victimes et des témoins seraient  également une raison pouvant justifier le choix de ces dates.

Rappelons que selon le mandat d’arrêt de la CPI, Al Hassan était impliqué dans plusieurs infractions, notamment des crimes contre la population de Tombouctou lors de l’occupation de cette ville en 2012 : « De par  son rôle de commissaire de facto de la Police islamique, donnant des ordres à environ une quarantaine de policiers sous son autorité. Al Hassan a joué un rôle de premier plan dans la commission des crimes et la persécution religieuse et sexiste infligée par ces groupes armés. De plus. Al Hassan participait également à des patrouilles pour traquer les contrevenants aux nouvelles règles et était impliqué dans la torture des personnes arrêtées pour extorquer des aveux. » Ce mandat d’arrêt a été délivré le 27 mars 2018 et remis à la CPI le 31 mars 2018. Depuis lors l’affaire est ouverte au sein de la CPI.

Fousseni TOGOLA

Source : LE PAYS

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Fana : Soliloque de l’honorable Diarrassouba suite à la décapitation de Banafa Touré

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La Mairie de Fana a servi de cadre à une grande rencontre, le lundi 6 janvier 2020, autour de la problématique des assassinats à répétition dans cet arrondissement du cercle (région) de Dioila. L’honorable Mamadou Diarrasouba, député de Massiki, a soulevé plusieurs interrogations au cours de cette réunion.

 

« Puisqu’ils ne coupent aucun organe, nous suggérons alors que ces assassins ont besoin du sang. Que font-ils alors de ces sangs recueillis ? Comment réussissent-ils à quitter Fana avec ces sangs humains ? Quel est le dessous de ces crimes ? » Après avoir rappelé les différents cas d’assassinats qui se sont déroulés à Fana entre 2018 et 2020, voilà le soliloque de l’honorable Diarrassouba lors de cette rencontre à Fana, le lundi dernier, à la suite des assassinats récurrents dans cette ville.

Comme une suite logique, l’élu de Massiki explique ces situations tragiques dans cette ville située à une centaine de Kilomètres du district de Bamako comme une répercussion de la fermeture du poste de contrôle qui y donnait accès. Selon lui, c’est ce qui a donné une voie libre aux malfaiteurs. « À cette ère d’insécurité gravissant, le contrôle est une nécessité vitale », a fait savoir l’Arche du collectif des députés élus à Dioila.

La sécurité ne peut s’instaurer sans l’implication de tous les citoyens. L’honorable Diarrassouba a alors profité de cette rencontre pour demander à la population de Fana et environ d’unir leurs forces, de venir en appui aux forces de l’ordre, dans leurs missions de sécurisation des personnes et de leurs biens, en les alertant de la présence de tout individu suspect. Cela, afin d’éviter qu’au plus jamais des scènes de décapitation ne se déroulent dans cet arrondissement.

Contre toute théorie du complot, le député de Massiki trouve nécessaire le Dialogue entre les citoyens, la cohésion sociale pour relever les défis sécuritaires, partout au Mali.

TOGOLA

Source : LE PAYS

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La CMA dément son retrait momentané de la sécurisation de la région de Tombouctou

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La CMA informe l’opinion nationale et internationale qu’elle dément formellement l’annonce colportée par les réseaux sociaux qui fait état de son retrait momentané de la sécurisation de la région de Tombouctou.

 

La CMA affirme, malgré toutes les difficultés auxquelles elle fait face, avoir exceptionnellement renforcé son potentiel d’intervention pour assurer à la fois la sécurité des assises du Congrès du MAA prévu entre les 10 et 12 Janvier courant et optimiser la quiétude et la tranquillité des citoyens et des usagers des différents axes routiers extrêmement éprouvés par le vide sécuritaire dans cette région.

La CMA s’engage à assumer sa part de responsabilité en concertation permanente avec toutes les autorités régionales dans cette mission et ce jusqu’à substitution de service par les forces appropriées.

Kidal, le 07 Janvier 2020

Le Porte-Parole de la CMA
Eouari Ibrahim AG EOUEGH

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Élections législatives : Le collège électoral convoqué avant le 20 janvier

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Les élections législatives seront tenues avant le 02 mai 2020 comme recommandé par le Dialogue national inclusif. Le collège électoral  sera, de sources sûres, convoqué au plus tard le 20 janvier.

 

Les choses se précisent pour la tenue des élections législatives avant le 02 mai 2020. Selon une source proche du ministère de l’Administration territoriale et de la décentralisation, les préparations sont en cours au niveau du département pour la tenue des législatives avant la date recommandée  par le Dialogue national inclusif. La même source indique d’ailleurs que le collège électoral sera convoqué, par le gouvernement, au plus tard le 20 de ce mois. « Toutes les conditions sont en train d’être réunies pour que les législatives se tiennent avant le 02 mai. Le collège électoral sera convoqué au plus tard le 20 janvier 2020 », nous informe notre interlocuteur.

Si le collège électoral est convoqué  avant le 20 janvier, il faut s’attendre à la tenue des législatives en fin mars ou début avril.  Donc avant le 02 mai, date proposée par les participants au DNI, les nouveaux parlementaires pourraient entrer à l’Assemblée nationale du Mali.

Il faut rappeler que le mandat des députés a expiré  depuis le 31 décembre 2018. Il a été, malgré les constatations des acteurs politiques et de la société civile, prorogé au 30 juin 2019 par la Loi organique n°2018-067 du 06 décembre 2018 conformément à l’avis de la Cour Constitutionnelle du 12 octobre 2018. Le 26 juin 2019, une seconde  prorogation  a eu lieu, cela  jusqu’au 2 mai 2020. Ces députés, pour beaucoup de citoyens, ne représentent plus le peuple, car beaucoup d’entre eux n’ont plus la confiance des populations qui les ont élus. C’est pourquoi les partis politiques, associations de la société civile, jeunesse… réclament l’organisation des élections législatives avant la fin  de la seconde prorogation du mandat des élus de la nation.

Le Dialogue national inclusif a aussi abordé dans le même sens. La tenue de ces élections avant le 2 mai prochain permettra non seulement aux populations d’avoir des représentants légitimes à l’Assemblée nationale, mais aussi d’apaiser la tension qu’a causée la violation de la constitution par les deux prorogations.

Le  département de l’Administration territoriale compte, selon notre interlocuteur, gagner ce pari, car la tenue, à date de ces élections, sera aussi un bon début pour la mise en œuvre des recommandations du Dialogue.

A suivre

Boureima Guindo

Source : LE PAYS

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Dialogue national inclusif, élections législatives, procès Amadou Haya Sanogo : Les vérités de Oumar Mariko

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Le député de Kolondiéba, Oumar Mariko, était l’invité, le dimanche 05 janvier 2020, de l’émission ‘’vis-à-vis’’ de la radio Peace FM animée par les journalistes Siriki Kouyaté et Bourama Diallo alias Mass. Occasion mise à profit par le président du parti SADI de se prononcer sur l’affaire Amadou Haya Sanogo.

 

Le président de SADI (Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance), Oumar Mariko répondait aux questions des actualités du pays : Dialogue national inclusif ; l’organisation des élections législatives ; la révision constitutionnelle ; le problème du terrorisme ; le jugement de l’ex-chef de la junte de 2012, Amadou Haya Sanogo.

Parlant du Dialogue national inclusif, Oumar Mariko ne fait pas de  cadeau aux participants. Il affirme que ce sont ceux qui sont « malades » et qui n’ont « aucune autre possibilité de se soigner » qui ont tenu le Dialogue national dit inclusif.  Il va loin dans ses explications : « Quand on regarde du début jusqu’à la fin du dialogue, on remarque que les pivots sont ceux qui ont mis le pays dans la situation actuelle ». Selon Mariko, toutes les personnalités influentes du dialogue ont fait des choses « terribles » dans ce pays. Par l’organisation du dialogue, Mariko estime que les coupables de la crise que traverse le pays ont cherché à se sauver la tête via un dialogue « névrosé et thérapeutique ». Il n’en décolère pas et déclare : « Dans le Dialogue, ils parlent des élections législatives. Mais ce qu’ils ne disent pas est qu’actuellement il y a une centaine de mairies qui n’ont pas de maire dans le pays. Les résolutions sont muettes là-dessus ».Pour Oumar Mariko, le Dialogue national inclusif n’avait qu’un seul objectif : la révision de la constitution.

Deux heures durant (de 22H à 00H), l’opposant Mariko dénonçait les pratiques peu « orthodoxes » du pouvoir, en pointant du doigt le chef de l’Etat comme « le seul responsable » des maux qui minent le Mali. Aussi, a-t-il sollicité dans son intervention, le retrait et la non-ingérence de la France dans la gestion du Mali.

Parlant de l’affaire Sanogo, Oumar Mariko a été succinct : les juges du Mali ne peuvent pas juger Amadou H Sanogo. Puis d’ajouter : « Juger Amadou Haya Sanogo sans interroger Soumeylou Boubeye Maiga ; Cheick Modibo Diarra ; Dioncounda Traoré et les membres de la transition à savoir pourquoi les militaires ont empêché l’atterrissage de l’avion 730 de la CEDAO en date du 30 avril, serait une contre vérité »,dit-il avant de montrer que les juges qui jugeront le chef des putschistes sans chercher à savoir cela, ne seront pas « échappés » lors du jugement dernier. Parce qu’ils ne « diront pas la vérité » sur l’affaire.

Mamadou Diarra

Source : LE PAYS

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Bilal Ag Achérif à Ménaka pour désamorcer les tensions socio sécuritaires persistantes dans la région

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Une forte délégation de la CMA conduite par son Président, son Excellence BILAL AG ACHERIF séjourne depuis ce matin ,7 Janvier 2020 à Menaka.

 

Objectif de la mission : Désamorcer les tensions socio sécuritaires persistantes dans la région.

A l’agenda : des Rencontres d’Echanges et de Propositions des Solutions avec les acteurs socio politiques locaux de la région et autres acteurs impliqués dans le retour de la paix et de la stabilité.

Résultats Attendus de la Mission : Enterrer définitivement les sources des tensions et amorcer un nouvel élan de paix ,de cohésion sociale et du vivre ensemble au bonheur de tous les Azawadiens.

Fait à Kidal ,le 7 Janvier 2020

Chargé de l’information et de la Communication du BE/MNLA,

SIDI AG BAYE

MNLA

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