Quantcast
Channel: Koulouba.com
Viewing all 74550 articles
Browse latest View live

Confédération des producteurs de coton : Bakary Togola met sur écoute téléphonique un ex-collaborateur

$
0
0

Bakary Togola, le président de la Confédération des sociétés coopératives des producteurs de coton (C-SCPC) et président de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture du Mali (Apcam) est décidément abonné aux scandales. Il s’est arrogé le droit de mettre sur écoute les communications téléphoniques de Fadiala Coulibaly, celui-là même qu’il a licencié de son poste de responsable administratif et financier (Raf) de la C-SCPC.

Sacré Bakary Togola. Il est déjà empêtré dans de salles affaires comme des soupçons de détournement d’une vingtaine de milliards de F CFA en sa qualité de président de la Confédération des sociétés coopératives des producteurs de coton et en même temps d’imitation de la signature du PDG de la CMDT, Baba Berthé, dans le cadre d’une commande d’engrais de mauvaise qualité avec un réseau de distributeurs d’intrants agricoles. La nouvelle forfaiture à son arc est cette affaire d’écoute téléphonique orchestrée de son propre chef sur la personne de Fadiala Coulibaly, son ex- Raf, qu’il a licencié abusivement en juin 2019.

Le mardi 30 juillet 2019, Fadiala Coulibaly domicilié à N’Kouralé, dans la Commune rurale de Kalabancoro, près de l’université de Kabala, échappe in extremis à une tentative d’enlèvement des policiers du 4è arrondissement. Ces derniers lourdement armés à bord d’un véhicule débarquent chez lui. En son absence, les policiers en mission trouvent sur place l’une de ses épouses à qui ils déclarent être à la recherche de leur époux et qu’ils sont en mission. Ils ne tardent pas à rebrousser chemin lorsqu’ils ont été informés que Fadiala Coulibaly est parti en ville. Sur leur chemin du retour, ils croisent leur proie accompagnée de deux de ses frères vers le marché de Niamakorokourani. Comme s’ils avaient à faire à un malfrat, les policiers sautent de leur véhicule en pointant leur arme sur M. Coulibaly tout en le forçant à monter à bord de leur engin sous prétexte qu’ils ont un mandat d’amener contre lui, décerné par le procureur de la République près le tribunal de la Commune V. M. Coulibaly refuse d’obtempérer en leur expliquant qu’il souhaite se rendre de lui-même au commissariat puisqu’il n’est pas un bandit de grand chemin.

Arrivé au commissariat du 4è arrondissement, M. Coulibaly s’est vu signifier une plainte du président de la C-SCPC pour “violation du secret professionnel”. Le commissaire abasourdi, puisque mis devant un fait accompli, n’avait rien compris de l’interpellation de M. Coulibaly. A son arrivée, il a rétorqué à ses agents que ce monsieur n’avait pas besoin d’une méthode musclée d’interpellation. Apparemment, bien qu’il ait eu une convocation du procureur de la Commune V, l’arrestation de M. Coulibaly a été organisée par une main invisible au commissariat, à l’insu du commissaire lui-même.

Pour ce qui est de l’accusation de “violation du secret professionnel”, prévue et punie par l’article 130 du code de procédure pénale, le plaignant à en croire son avocat, s’est référé aux entretiens téléphoniques entre Fadiala Coulibaly et un journaliste (votre fidèle serviteur dont une copie est versée au dossier du plaignant) où il a été question des détournements d’argent par Bakary Togola, ses décaissements frauduleux, sa gestion patrimoniale de la confédération, entre autres. La “violation du secret professionnel” est effectivement punie au plan pénal, mais des exceptions sont prévues pour des régisseurs, comptables, responsables administratifs et financiers, etc., qui ont obligation de dénonciation de certains manquements à l’orthodoxie financière au risque de se rendre complices des mêmes pratiques délictuelles.

Le comble dans cette affaire est que la plainte de Bakary Togola était accompagnée d’une copie de la prétendue conversation entre Fadiala Coulibaly et le journaliste que je suis. Il faut normalement une réquisition du procureur pour mettre un citoyen sur écoute téléphonique quel que soit le motif. Si ses conseils lui rendaient service, cette plainte devrait être étouffée avant d’atterrir sur la table du procureur puisque cousue d’irrégularités. Il oublie qu’il peut lui-même être l’arroseur arrosé dans cette affaire, si tout se passait normalement. Son agissement est vraisemblablement la concrétisation de ses propres propos où il dit qu’il ne peut perdre aucun procès au Mali, en ce sens qu’il a les moyens de se payer tous les procureurs de notre pays (diantre !). Comprendre qui pourra.

Il faut noter que la plainte pour licenciement abusif intenté contre lui par M. Coulibaly, s’ouvre ce mardi au tribunal du travail de Bamako. Certainement que sa plainte en “violation de secret professionnel” visait tout simplement à noyer le poisson dans l’eau.

Abdrahamane Dicko

 Source: Mali Tribune

The post Confédération des producteurs de coton : Bakary Togola met sur écoute téléphonique un ex-collaborateur appeared first on Koulouba.com.


Grande fête ou Tabaski : Le mythique sacrifice d’Abraham

$
0
0

Deux grandes fêtes religieuses régentent la vie religieuse et spirituelle du monde musulman éparpillé entre les cinq continents du globe terrestre ; à savoir la petite fête (“sèlinin”)) clôturant le mois de ramadan (à ne pas confondre avec le carême chrétien) et la 2è (dite “sèli ba”) qui intervient moins de trois mois plus tard.

La première consacre la fin du  jeûne musulman et la 2è la commémoration  du mythique sacrifice d’Abraham, le patriarche hébreu qui voulait immoler son fils Ismaîel,  mais qui fut sauvé en dernier  ressort par l’Archange Gabriel.  Si  Les date  des fêtes chrétiennes (Noël et Pâques) sont  ordonnées et respectées par un calendrier établi à l’avance, celles des musulmans demeurent inconnues en raison des incertitudes sur les mouvements de la lune. Parce que les fêtes musulmanes obéissent aux oscillations lunaires plutôt qu’au calendrier grégorien.

 

Sitôt après la première fête commencent les préparatifs de la seconde qui représente plus de dépenses que la première. Les femmes et les filles veulent se tresser les cheveux, les garçons se coiffer, sans oublier les épouses qui désirent se faire noircir les pieds au henné.

Dans tous les cas, les deux fêtes sont organisées dans une atmosphère toute religieuse  par presque toutes  les couches sociales de ce pays y compris par les non musulmans qui voient en cette circonstance l’occasion de bien manger.

Mais aussi bien  la première que la seconde, le problème demeure les frais que les deux évènements génèrent. Non seulement les chefs de famille doivent acheter des habits neufs pour la famille, mais également sont tenus de bien alimenter les leurs ce jour-là.

L’achat d’un mouton est fortement recommandé aux chefs de famille en souvenir du geste d’Abraham. En raison du fait que cet ovin est trop demandé en cette période, les éleveurs font de la surenchère et donnent l’ascenseur aux prix. Tout comme les autres commerçants de la place qui voient là l’occasion de rattraper en quelques jours ce qu’ils ont mis des mois à chercher. De telle manière que de fête religieuse, la cérémonie se transforme en messe commerciale dont les chefs de famille font les frais.

La tabaski est aussi décrite comme la fête du pardon et même de l’aumône qui fait partie des cinq piliers de l’islam pour ceux qui en ont les moyens par la distribution de viande aux moins nantis.

L’islam classé parmi les religions monothéistes issues d’Abraham promet le paradis pour ses fidèles et l’enfer pour ses détracteurs.

Facoh Donki Diarra, écrivain

 xxxxxx

 Bamako :

Au moins 60 000 FCFA pour obtenir un petit bélier

 La fête de Tabaski, aussi appelée Aïd El Kabîr célébrée au Mali le dimanche prochain. Dans les grands marchés à moutons de Bamako, les prix varient entre 60 000 à 300 000 F CFA, souvent plus. Les acheteurs, tout comme les vendeurs de bétail, expriment leur inquiétude sur la situation.

La star du jour, le mouton, se fait distinguer à Bamako et alentours à quelques jours de la fête de Tabaski. Le marché de bétail de Bamako n’est pas aussi dense que les autres années. Au marché de mouton de Sabalibougou, Garbal”, les moutons de cette année sont un peu plus chers comparativement aux années précédentes.

Selon Habibou Denon, président des syndicats de ce marché, cela est due à l’insécurité qui sévit au centre du pays. Nos moutons viennent de Koro, Douentza et de Nioro du Sahel. Aussi, les taxes des douaniers et le prix de transport sont élevés, les aliments bétails”, explique-t-il.

Ces difficultés sont partagées par les éleveurs de Kati Drale”. Ici, Moussa Sangaré, vendeur de mouton, raconte aussi les difficultés dans le transport des béliers. Nos moutons viennent de Nara et de la Mauritanie. L’état de la route est très chaotique alors qu’on paye 1000 F CFA pour chaque mouton aux douaniers. L’insécurité dans les marchés nous fatigue aussi. Il y a chaque fois des cas de vol. Nous passons des nuits blanches pour monter la garde dans les marchés”, déplore le commençant.

Calvaire

Malgré ses difficultés, certains vendeurs de bétail s’accrochent et parviennent à se frotter les mains. Mouctar Goro, marié et père de quatre enfants, vient d’un village dogon. Le vendeur de mouton amène ses béliers depuis huit ans au Garbal” de Faladjé. Il affirme avoir payé près de 5 000 F CFA comme frais de dédouanement de son village à Bamako. C’est pourquoi le prix de mes béliers varie de 60 000 à 300 000 F CFA, cela selon la taille et le poids”, justifie Goro, s’exprimant sur l’affluence actuelle au marché. Pas dense pour l’heure.

À Nèrèkoro (Kalaban Sanga), les prix des moutons à la veille de Tabaski sont un peu moins chers par rapport au marché de Faladjè.

Dans le parc animalier d’Ousmane Coulibaly, originaire de Koutiala, les moutons sont cédés à partir de 60 000 F CFA. Les plus gros sont vendus à 200 000 F CFA.

L’achat du traditionnel mouton de sacrifice d’Ibrahim demeure la grande préoccupation pour les chefs de famille lors de la fête de Tabaski, qui s’apprêtent du mieux qu’ils peuvent. Une période où les moutons sont sollicités et vendus très chers.

C’est la pire des fêtes que je n’ai jamais vécu. Tout est cher cette année”, se plaint Daouda Sylla, un client du marché de Niamakoro. Chef de famille, M. Sylla exprime avec regret son mécontentement face à la flambée du prix du mouton qu’il payait avant à 60 000F F CFA.  Ces béliers sont vendus à 85 000 F CFA, cette année.

Hamady Sow

(stagiaire)

Source: Mali Tribune

The post Grande fête ou Tabaski : Le mythique sacrifice d’Abraham appeared first on Koulouba.com.

Sécurité pendant la fête de Tabaski : 300 policiers seront déployés à Bamako 72h avant la fête de Tabaski

$
0
0

La circulation connait une mobilité élevée avant la fête de tabaski qui s’approche. Selon le commissaire de la CCR, Abdoulaye Coulibaly, une forte mesure sécuritaire est prévue pour éviter les dégâts et accidents lors de la fête de Tabaski 2019.

 La circulation pendant la fête de tabaski n’est pas ordinaire comme celle des autres jours à Bamako. C’est pour cette raison que la Compagnie de la circulation routière (CCR) renforce les mesures sécuritaires au niveau des carrefours et dans les différentes villes du Mali.

Selon Abdoulaye Coulibaly, le commissaire de la CCR, le jour et la veille de la fête il y aura un mouvement de foule qui nécessite un dispositif spécial. Pour cela, précise-t-il, la CCR a choisi 300 policiers qui sont déployés pendant 72h avant le jour J. C’est pour un maillage complet du district de Bamako et faire en sorte que les usagers de la route puissent circuler librement sans un encombrement. On ne peut pas empêcher les embouteillages, car ils sont dus aux pannes. C’est aussi pour réduire le taux d’accident de la circulation routière. Nous n’avons pas oublié les piétons. Les mesures sont prises pour faciliter leur passages”, explique-t-il.

Il affirme que les personnes vulnérables comme les enfants, les vieilles personnes et les handicapés seront également assistées pour la traversée des chaussées. Un autre dispositif sera pris le jour de la fête surtout dans les lieux de distractions.

J’appelle ces lieux de loisirs: le parc national, le jardin zoologique, le musée, la place du cinquantenaire, le Nina parc. Juste après la prière, nos agents seront déployés pour faciliter le mouvement de la foule”, ajoute-t-il.

A la vieille des patrouilles sont également prévues dans la nuit et dans la journée. Il y aura des équipes mobiles. Les patrouilles diurnes et nocturnes auront pour mission de circuler à travers la ville de Bamako pour constater les cas d’embouteillage et les cas d’indiscipline sur la route. La fête est une occasion pour certaines personnes d’utiliser leur vieille voiture qui ne répond à aucune norme technique. La nuit, les équipes de patrouilles seront envoyées sur les deux rives de la capitale pour sécuriser les gens et interpeller les usagers qui vont s’adonner à l’alcool et à la drogue”, révèle le commissaire de la CCR.

Nous avons désigné 80 carrefours dans le district de Bamako. Les compagnies de transport, principalement la gare de Sogoniko, seront sécurisées par nos agents pour contrôler la rentrée et la sortie des cars. Nous renforcerons les mesures de sécurité à Niamana pour éviter l’obstruction par des cars et remorques qui s’arrêtent au bord du goudron”, promet le commandant Abdoulaye Coulibaly.

Fatoumata Kané

Source: Mali Tribune

The post Sécurité pendant la fête de Tabaski : 300 policiers seront déployés à Bamako 72h avant la fête de Tabaski appeared first on Koulouba.com.

Amara Abdel Karim Diarra, directeur de l’agence centrale de la BNDA : “A la BNDA, toutes les dispositions sont prises pour permettre à nos clients d’opérer en toute sérénité avant, pendant et après la fête”

$
0
0

À la veille des fêtes, les banques sont engorgées par les clients. Un phénomène lié aux dépenses de la fête et le retard  que les clients prennent avant d’effectuer leurs opérations. Nous sommes allés à la rencontre de Monsieur Amara Abdel Karim Diarra, Directeur de l’Agence Centrale de le Banque nationale de développement Agricole (BNDA).

Mali Tribune : Qu’est ce qui fait qu’il y a une forte affluence dans les guichets des  banques les veilles de fêtes ?

Amara Abdel Karim DIARRA : C’est lié à plusieurs phénomènes principalement à la forte demande de la clientèle pendant cette période. Il faut signaler que les clients ont besoin de faire des opérations pour faire face aux dépenses de la fête. A cela il faut ajouter que les salaires sont faits pour la plupart quelques jours avant la fête. Ces facteurs combinés  font que   les clients ont besoin d’accéder à leurs fonds. Ce sont les causes principales de la forte affluence dans les guichets des banques les veilles de fêtes.

Mali Tribune : Qu’est ce qui provoque souvent les blocages ?

A. K. D. : A mon avis, il n’y a pas de blocage. Comme je l’ai dit tantôt, c’est la forte affluence qui provoque cet engorgement. A chaque fois que cela arrive, la BNDA prend des dispositions idoines pour satisfaire la clientèle.

Mali Tribune : Quelles sont les mesures que vous avez prises pour faciliter les opérations ?

A. K. D. : Les mesures prises sont de plusieurs ordres. Pour les opérations de caisse (retrait au guichet), les équipes ont été renforcées, notamment le nombre de caisses de retrait et de versement. Il y a aussi une surveillance plus accrue des guichets automatiques qui sont à la disposition de la clientèle pour faciliter les opérations jour et nuit.

Pour les opérations de crédit on a aussi des équipes dédiées aux prêts évènementiels en l’occurrence le “prêt Tabaski”  afin d’accompagner notre  aimable clientèle.

Mali Tribune : Les prêts évènementiels sont-ils disponibles ?

A. K. D. : On a commencé à faire les “prêts Tabaski 2019” il y a deux mois environ. Le plafond est 800 000 F CFA.

Mali Tribune : Quel conseil donnez-vous à vos clients pour mieux faciliter les opérations ?

A. K. D. : Nous demandons à nos clients d’être patients parce qu’à l’approche des fêtes, les demandes explosent cela provoque l’engorgement dans nos guichets.

Donc, une opération qui se traite en 2 minutes peut prendre beaucoup plus. On leur demande d’être patients et de s’y prendre tôt. Beaucoup de clients attendent la dernière minute pour venir. Cela crée une forte pression sur les équipes. Ce qui peut créer des problèmes de  communication.

Propos recueillis par

Sira Diarra

Source: Mali Tribune

The post Amara Abdel Karim Diarra, directeur de l’agence centrale de la BNDA : “A la BNDA, toutes les dispositions sont prises pour permettre à nos clients d’opérer en toute sérénité avant, pendant et après la fête” appeared first on Koulouba.com.

Mairie de Mancourani : Le cri d’indignation des victimes du maire Modibo Touré

$
0
0

Indignées du comportement malsain du maire de Mancourani, les personnes qui ont été victimes d’agressions de Modibo Touré, exigent une nette correction de la part du département de l’administration territoriale. Animé de folie de grandeur, le maire de Mancourani a pour cible, des marraines, des hommes, vieux et jeunes témoins  de mariages. Ça fait des années que certains citoyens sont humiliés et insultés le plus souvent ceux qui assistent à la célébration des mariages à la mairie Mancourani  par ledit maire. Pour lui, une fois dans la salle de célébration, les accompagnateurs des mariés  n’ont plus droit à se mouvoir, à parler, ni de toucher à  leurs téléphones portables. Certaines victimes de maladresses du maire de Mancourani à Sikasso ont voulu se confier à notre reporter en mission à Sikasso depuis le vendredi 26 juillet 2019.

Dans notre dernière parution du mercredi 1er juillet 2019, il était question  l’agressivité, l’arrogance, la maladresse, un sale caractère devenu un plaisir chez le maire de Mancourani, un quartier de la commune urbaine de Sikasso. Venu dans la politique par effraction, puisqu’il est loin d’être charismatique, le maire Modibo Touré vient de se muer en un personnage arrogant et agressif. Plus hautain que jamais, il se croit au-dessus de tous. Pourtant, les Sikassois, notamment les habitants de Mancourani le voyaient pivoter entre les cars dans les années 90 en tant que  cocher et convoyeur au niveau de la gare routière de Sikasso. Lors des mariages, au lieu de dire le contenu du code du mariage en guise de sensibilisation, il se transforme en un prêcheur confirmé, en racontant à la fois sa vie, celle des autres à travers exemples dont l’assistance n’a pas besoin. Ainsi, il humilie et insulte toute personne qui s’ennuie  de ses  propos lors des mariages.

A la mairie de Mancourani, une fois dans la salle de célébration du mariage, personne ne bouge, ni ne parle, ni ne décroche son téléphone ou rire, sinon il vous sermonne avec de termes vulgaires et insultants. Moins convainquant, il divague entre sa vie et certains sujets d’actualité, qui ne sont pas à l’ordre du jour. Il dicte tout sauf ce que dit le code du mariage.

L’ex cocher et locateur à la gare de Sikasso a tout sauf la qualité d’un homme politique. Très bavard et animé d’une grande gueule, son seul objectif est de se faire voir en se vantant. Ce qui faisant que ces cérémonies de mariage prennent plus d’une voire deux heures d’horloge. Ainsi, ledit maire délégué oblige tout le monde à assister jusqu’à la fin. Du jamais vu dans une mairie ! Un maire qui oblige l’assistance à l’écouter sans  se déplacer, ni faire quoi que ce soit. Seuls les photographes et les cameramen sont autorisés à se déplacer ou prendre des images. Et gare à qui que se soit de faire une image via son téléphone ! La dite personne aura chaud à travers une réaction agressive du maire Modibo Touré, qui a su manipuler certains sikassois, notamment ceux de son quartier Mancourani qui, par ignorance, se plient à ses exigences.

Des témoignages poignants

Les témoins ont voulu garder l’anonymat. Selon eux, le cas Modibo Touré est inimaginable, quelle que soit ta personnalité, il ne manque pas d’occasion pour humilier toute personne qui ne se plie pas à ses exigences. Il est même arrivé à humilier un vieux venu en qualité de témoin d’un mariage. Lorsque ce dernier a eu le besoin d’aller à la toilette, il lui a interdit de sortir en disant ceci : « Si tu sens le besoin de pisser, fais-le sur toi. Si tu sors, tu ne rentreras plus dans ma salle, que cela soit très clair ! ».

Selon Mme Camara, le maire de Mancourani se croit au-dessus de tout le monde. « Il m’a sermonné, lorsque je me suis ennuyé, vu la lenteur de sa façon de célébrer  le mariage, je voulais sortir pour prendre mon médicament, il m’a tout de suite crié dessus et m’a obligé à m’asseoir.« Les malades mentaux, les personnes indisciplinées et les enfants ne sont pas les bienvenus dans ma salle de célébration de mariage. Si tu savais que tu ne pourras pas suivre  jusqu’à la fin, pourquoi rentres-tu ? Gare à toi, si tu ne t’assois pas. J’ai des policiers à ma disposition, ils vont t’enfermer,  selon la loi! », a-t-il déclaré.

« Ce maire est un ignorant, c’est pourquoi je n’ai pas agi en tant que militaire lorsqu’il m’a balancé des propos injurieux. Il n’est pas digne d’un homme politique, loin de là. Ce que je lui conseille, il doit respecter les citoyens, parce qu’il est là pour rendre service à tous », a souligné TD.

Ces différentes indignations valent le coup d’interpeller le maire de Mancourani par les plus hautes autorités, afin qu’il s’explique pourquoi tant d’agressivité, de maladresse et d’humiliation  des citoyens.

Le maire de Mancourani serait-il un accro aux stupéfiants qui lui mettent hors de lui-même ?

En tout cas, il devrait mettre un peu d’eau dans son vin pour le bien de tous.

Mariétou Konaté

Source: Mali Tribune

The post Mairie de Mancourani : Le cri d’indignation des victimes du maire Modibo Touré appeared first on Koulouba.com.

Baromètre Mali : Dr. Boubou Cissé désigné ministre du mois de juillet

$
0
0

Pour la pertinence de ses actions posées courant juillet 2019, le Premier ministre, Dr. Boubou Cissé, a été désigné Homme du mois par l’instrument de mesure citoyen, baromètre Mali.

Après être nommé deux fois ministre de la semaine pendant juillet, le baromètre annonce le Premier ministre Dr. Boubou Cissé l’homme du mois de juillet.

Le ministre de l’Economie et des Finances était en concurrence sur la liste avec son homologue de la Santé et des Affaires sociales, Michel Hamala Sidibé, selon la plateforme.
Neuf critères de base ont prévalu à cette nomination, selon l’instrument de mesure citoyen. Il s’agit des actions entreprises par les départements relavant de son ministère pour lutter contre la corruption, le nombre des reformes entreprises, l’augmentation des recettes douanières et fiscales, la création d’emplois ou encore le maintien des emplois déjà créés.

L’amélioration de la citoyenneté et du civisme, la réduction du train de l’état, l’auto évaluation et le ressenti de la population envers les actions posées par le ministre, font parti aussi des critères de base qui ont valu au PM d’être l’homme du mois.

Le choix se justifie, selon le coordinateur du baromètre Mali, Cheick Oumar Soumano. Nous sommes regardant sur toutes les actions posées par chaque ministre dans le gouvernement. Le PM en un mois est parti au centre du pays deux fois. Ces visites prouvent qu’il s’implique assez pour le retour de la paix et la réconciliation non seulement au nord, au centre et partout dans le pays”, ajoute M. Sanogo. Et de préciser que l’évaluation vise à encourager les bonnes actions posées par les membres du gouvernement de Dr. Cissé durant toute l’année. C’est bien de critiquer, mais il faut rendre publiques les bonnes actions visant à booster le développement du pays”.  

C’est autour d’une plateforme de discussions, que les membres du baromètre Mali ont porté leur choix sur le PM. Le groupe est constitué d’internautes et  d’associations de la société civile de diverses spécialités, selon M. Soumano. Il explique que l’adhésion est ouverte à tous les citoyens qui s’intéressent à la vie de la nation et à son développement.

Kadiatou Mouyi Doumbia

Source: Mali Tribune

The post Baromètre Mali : Dr. Boubou Cissé désigné ministre du mois de juillet appeared first on Koulouba.com.

Mairie du district de Bamako : Le non payement des impôts et taxes au centre des préoccupations

$
0
0

Les administrateurs de la mairie du district de Bamako ont rencontré vendredi dernier la société civile pour échanger avec elle sur l’état d’exécution des budgets 2018. L’exercice s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre la mairie du district et l’USAID à travers le Programme d’appui à la gouvernance locale, MALI-SNGP.

 Cette activité, prévue par les textes, traduit la volonté des administrateurs de la mairie du district à instaurer un climat de confiance entre les élus locaux et les populations par le partage d’information sur la gestion des fonds publics.

Il s’agissait ainsi de partager avec les populations le bilan des investissements 2018 et les niveaux de recettes effectuées par les collectivités territoriales cibles, faire le point des initiatives spécifiques et recueillir les propositions des populations dans le but de l’amélioration des ressources financières des collectivités territoriales. Aussi, il visait à partager le bilan des dépenses de fonctionnement 2018 par secteur de compétences transférées, les difficultés rencontrées dans la mobilisation des ressources financières ainsi que les actions de développement menées par la collectivité au titre de 2019 et les années suivantes.

La législation malienne en matière de décentralisation exige des ordonnateurs des budgets communaux, de faire le retour de la gestion du budget accordé dans un premier temps par la société civile. Le budget adopté par le conseil, son exécution après, on rend compte de cela”, a expliqué Founè Dembélé, secrétaire général de la mairie du district de Bamako.

A l’en croire, au moment de l’élaboration du budget, il y a un débat public pendant lequel la société civile fait part de ses préoccupations ainsi que les réalisations qu’elles entendent voir au niveau de la localité, toutes insérées dans le budget.

Au cours de l’exercice, il ressort que le budget exprimé à plus de 43 milliards de F CFA couvre un taux d’exécution de 75 %. Un accent particulier a été également mis sur la préoccupation actuelle de la mairie, qui demeure le non payement des taxes et les impôts par les populations.

A cet effet, le secrétaire général de la mairie du district, Founè Dembélé, a invité les populations de s’acquitter de ses devoirs civiques en respectant les taxes et impôts.

C’est vrai que les conditions sont difficiles. On comprend que ce n’est pas toujours évident, mais tout ce qu’on demande c’est le minimum. Parce qu’avant de demander à l’élu qu’est-ce que vous avez pu faire pour nous, il faudrait se poser la question est ce que moi-même je me suis acquitté de mes devoirs”, a-t-il poursuivi.

L’exercice a pris fin sur les propositions des populations en vue de l’amélioration des ressources financières des collectivités territoriales.

M. Coul

 

Source: Mali Tribune

The post Mairie du district de Bamako : Le non payement des impôts et taxes au centre des préoccupations appeared first on Koulouba.com.

CDI-Médiation : en pleine campagne de réconciliation des cœurs et des esprits

$
0
0

La Commission démocratique indépendante de médiation (CDI-Médiation) entre la majorité, l’opposition et la société civile, pour une cohabitation pacifique entre toutes les couches sociales au Mali, a organisé une rencontre à Sébénicoro Wèrèda près du marché pour sensibiliser la population plus particulièrement la jeunesse sur la crise que traverse notre pays. La rencontre a eu lieu le samedi 3 août 2019.

Présidée par le président de la CDI-Médiation, Makan Sidibé, non moins porte-parole de la commission, cette activité entre dans le cadre de l’apaisement des cœurs et des esprits et pour un meilleur vivre-ensemble au Mali.

«Nous organisons cette grande rencontre citoyenne de communication afin qu’on conjugue nos efforts pour promouvoir la paix et la cohésion sociale et pacifier nos zones affectées par la crise et les conflits intercommunautaires», a expliqué le président Makan Sidibé, comme objectif de la rencontre aux invités du jour qui étaient entre autres le représentant du ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, celui du maire de la Commune IV du District de Bamako, le président de la CDI locale.

Afin de renforcer les reflexes patriotiques chez nos concitoyens du District, expliquera Makan Sidibé, la CDI-médiation veut contribuer au renforcement du dialogue social et de la cohésion sociale partout au Mali. M. Sidibé a annoncé qu’ils ont fait un manifeste dans lequel ils ont fait des propositions adéquates de sortie de crise.

«J’invite les leaders religieux et les autorités à maintenir le calme et prôner le dialogue afin de sauver l’essentiel, sinon les retombées seront dures pour les Maliens de tous bords», a martelé M. Sidibé. Et d’ajouter que la CDI-médiation organise les conditions de retrouvailles avec tous les enfants de notre Mali pour que nous partagions nos préoccupations et trouvions ensemble les solutions pour les résoudre. «Nous sommes déterminés à tarir les sources de conflit au sein de nos différentes communautés», a fait savoir M. Sidibé.

Rappelons que la CDI médiation est au service de la réconciliation dans toutes les instances décisionnelles du pays. Elle a été créée il y a de cela  presqu’une année et est sur tout le territoire national et à l’étranger.

Cette commission démocratique indépendante de médiation fait la fierté du peuple malien car ces jeunes cotisent pour mener leurs activités partout au Mali sans l’aide de qui que ce soit. «Nous avons besoin du soutien de tous les Maliens pour aider nos concitoyens de ces localités», a conclu M. Makan Sidibé, président national de la CDI. Des prestations musicales de jeunes artistes maliens ont agrémenté la cérémonie.

Ousmane DIAKITE

Source: Le Reporter

The post CDI-Médiation : en pleine campagne de réconciliation des cœurs et des esprits appeared first on Koulouba.com.


DEF triché

$
0
0

L’examen du DEF (Diplôme d’études fondamentales) s’est déroulé au Mali, et vous saurez que ni le peuple malien ni ses dirigeants actuels ne sont prêts pour le changement : malgré le prêchi-prêcha du ministre de l’éducation nationale, les sujets du DEF session 2019 n’ont pas été à l’abri de fuite à l’instar de ceux des ans précédents.

Promoteurs véreux achetant des sujets, parents criminels favorables, enseignants complices, agents véreux du ministère acteurs, la liste est longue et les conséquences dramatiques… Voilà le Mali : tout le monde dit ça ne va pas mais personne n’œuvre pour que ça aille bien. Malheureusement pour les élèves dont la surveillance fut rude sinon de l’autre côté, les photocopies des corrections furent distribuées sans désinvolture. Mieux vaut décréter «voler pour tous, manger pour tous et qui peut», le professeur clément Dembélé a une tâche lourde, lui qui veut et prêche le contraire du modus operandi actuel. Le système actuel est très difficile à combattre, mon cher aîné, surtout que le peuple dans son entièreté n’est pas favorable encore moins prêt. Néanmoins, du courage mon cher aîné, il se peut que vos rêves se réalisent.

Source: Le Reporter

The post DEF triché appeared first on Koulouba.com.

Gao demande une route

$
0
0

À l’initiative du Mouvement Souba Alwakilo Djirbi Ben, des jeunes ont battu le pavé pour dénoncer l’état de la route Gao-Sevaré et demander à l’État de prendre des dispositions pour commencer les travaux de rénovation de cette route qui constitue, selon les organisateurs, «un levier pour l’économie de nos régions».

La marche a commencé aux environs de 09 heures devant le marché de nuit pour le Gouvernorat où les manifestants ont été reçus par le Gouverneur auquel ils ont remis une déclaration. Ils promettent d’user de tous les moyens légaux, si rien ne fait, pour que l’État prenne ses responsabilités. Le Gouverneur, S. Samaké, rassure les manifestants que c’est un problème qui est déjà posé et que la route Gao-Sevaré reste une priorité. «Ça me fait mal de voir mes administrés obligés de traverser deux pays pour arriver à Bamako», a-t-il déclaré.

Source: Le Reporter

The post Gao demande une route appeared first on Koulouba.com.

La bourse des moutons

$
0
0

Dans la vaste cour de l’ODM de Sévaré se tient la 3ème édition de la bourse des moutons appelée bourse des moutons de Tabaski à Sévaré BOMOTABS. C’est organisé par le projet L4G, une branche de Feed the future, financé par le gouvernement américain.

Cela à travers l’USAID. Les prix des moutons varient de 45000 FCFA à 150 000 FCFA, tous des moutons bien élevés grâce à L4G. BOMOTABS est basé sur l’embauche des éleveurs de Djénné, Bankass, Koro, Bandiagara et Nianfunké. C’est pourquoi les moutons sont bien élevés et bien portants.

Source: Le Reporter

The post La bourse des moutons appeared first on Koulouba.com.

De nouveaux stades

$
0
0

Lors des échanges avec le ministre des Sports, les jeunes de Tenekoun ont exprimé le besoin d’avoir un terrain de football. Selon eux, l’ancien Premier ministre leur avait promis un stade dont le financement a été acquis.

Le ministre leur a fait savoir que les Algériens leur ont promis 15 stades avec gazon synthétique. Selon lui, la priorité sera donnée aux localités de l’intérieur du pays. Le Premier ministre Boubou Cissé a dit que la promesse faite par le Premier ministre Boubèye de doter Tenekoun d’un stade sera respectée. En plus de Tenekoun, tous les cercles de Mopti auront leur stade.

Source: Le Reporter

The post De nouveaux stades appeared first on Koulouba.com.

Gestion des conflits

$
0
0

À Gao, le Projet de promotion et consolidation de la paix dans la région a été lancé le 31 juillet 2019. Financé à hauteur de 25 millions FCFA par la Minusma, il a pour objectif de renforcer la promotion d’une culture de paix et des valeurs de cohésion sociale dans toute la région de Gao.

Pour une durée de 3 mois, ce projet, qui sera mis en œuvre par l’Association holistique pour le développement et la paix au Mali, couvrira les cercles de Gao, Ansongo et Bourem. Dans son programme, plus de 600 personnes seront formées en gestion et prévention des conflits et en techniques de communication et formulation de message de paix.

Source: Le Reporter

The post Gestion des conflits appeared first on Koulouba.com.

Plus d’accès à l’eau

$
0
0

Dans la ville de Macina et partout où le Premier ministre est passé, les populations demandent plus d’accès à l’eau. La zone rizicole a besoin de plus d’eau. Les paysans n’ont pas encore fait de semi et ceux qui l’ont fait sont toujours dans l’attente de l’engrais subventionné par le gouvernement.

Ils ont demandé au Premier ministre de les aider, parce qu’ils n’ont plus d’espoir. Macina est la dernière ville de la zone de l’Office du Niger, cela pose beaucoup de problème. S’y ajoute l’insécurité, ce qui rend la tâche difficile pour les populations.

Source: Le Reporter

The post Plus d’accès à l’eau appeared first on Koulouba.com.

10 morts à Goundaga

$
0
0

Dans la région de Mopti, le 30 juillet 2019 entre 18 h et 19 h, après la foire hebdomadaire de Fatoma, des véhicules en partance pur Goundaka ont été interceptés par des individus armés non identifiés, entre un village de Kounary et un village de Goundaka. Bilan : 11 morts dont 10 ont été égorgés et un tué par arme à feu ; ils étaient tous des ressortissants du village de Boudou dans la commune rurale de Goundaka.

Informées de la nouvelle, le 31 juillet 2019, sur ordre de M. le Gouverneur de la région de Mopti, les Forces armées maliennes (Fama) ont été à la recherche des corps abandonnés dans la brousse afin de procéder à leur inhumation.

Source: Le Reporter

The post 10 morts à Goundaga appeared first on Koulouba.com.


Kita attend sa centrale photovoltaïque

$
0
0

Le ministre de l’Energie et de l’Eau s’est rendu le lundi 29 juillet à Kita à 182 km de Bamako pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de la nouvelle centrale photo-voltaïque AKUO Kita Solar de 50 MWc.

Le ministre Sambou Wagué était en compagnie des membres de son cabinet et de certains Directeurs centraux de son Département. Du côté EDM, la Direction générale était représentée par le chef de département des Centres de l’intérieur et de certains responsables opérationnels en charge du suivi des travaux qui doivent être réalisés par AKUO Solar. À l’issue de cette visite, le ministre Wagué a marqué son satisfecit quant à l’évolution normale des travaux qui tiennent compte jusque-là du respect des délais contractuels.

Source: Le Reporter

The post Kita attend sa centrale photovoltaïque appeared first on Koulouba.com.

Accueil triomphal

$
0
0

Tenekoun a observé un accueil triomphal au Premier ministre Boubou Cissé et sa délégation, venu rencontrer et échanger avec les populations sur les difficultés auxquelles elles sont confrontées. Pour trouver des voies et moyens de sortir de crise.

De l’entrée de la ville au domicile du chef du village, il y avait une marée humaine. Tout Tenekoun et ses environs se sont mobilisés pour accueillir Boubou Cissé.

Source: Le Reporter

The post Accueil triomphal appeared first on Koulouba.com.

L’auto-gare de Djenné

$
0
0

En marge de sa visite dans le cercle de Djenné, Dr. Boubou Cissé a visité le barrage de Djénné, une infrastructure qui joue un rôle capital dans l’agriculture à Djénné.

L’œuvre dont les travaux sont toujours en cours attend encore des étapes de finition importante. Les travaux ont été perturbés à cause de l’insécurité. Dans le cadre de la mobilité urbaine, le gouvernement vient de doter Djenné d’une nouvelle auto-gare, elle a été inaugurée par le Premier ministre. Il permet aux transporteurs d’avoir un endroit où garer les véhicules, car le cercle de Djenné est aussi inondé. L’infrastructure a été construite par le gouvernement.

Source: Le Reporter

The post L’auto-gare de Djenné appeared first on Koulouba.com.

Arouna Modibo Touré rassure les jeunes des localités du centre

$
0
0

Dans toutes les localités que le Premier ministre a visitées lors de cette 2ème étape de sa tournée dans la région de Mopti, le ministre de la Jeunesse et des sports y était aussi. En plus des rencontres classiques, Arouna Modibo Touré rencontrait les jeunes des localités afin de recenser leurs préoccupations.

Il a dit deux messages partout où il est passé : l’organisation des activités citoyennes pendant les vacances et un tournoi de football dans toutes les localités. À Tenenkoun, il a eu des discussions franches et directes avec la jeunesse. Il leur a dit ce qu’il peut faire et ce qu’il ne peut. La question de la mobilité des engins à deux roues, a-t-il déclaré, «ne relève pas de ma compétence, c’est une question militaire». Et chaque fois que le ministre Papou échangeait avec les jeunes, ceux-ci se calmaient.

Source: Le Reporter

The post Arouna Modibo Touré rassure les jeunes des localités du centre appeared first on Koulouba.com.

Plateforme apolitique

$
0
0

Lors de sa visite à Djenné, le Premier ministre Dr. Boubou Cissé a été informé de la mise en place d’une plateforme apolitique, pour l’aider dans le cercle de Djenné.

Si les initiateurs de cette plateforme apolitique ne sont pas rentrés dans les détails, tout porte à croire qu’il s’agit d’une fédération des acteurs de la vie politique de Djenné. En tout cas, tous les ténors de la politique de la ville jumelle de Tombouctou étaient présents lors de la visite du Premier ministre. Et chacun y a mis sa touche.

Source: Le Reporter

The post Plateforme apolitique appeared first on Koulouba.com.

Viewing all 74550 articles
Browse latest View live