Fière vitrine d’une Côte d’Ivoire redevenue fréquentable en cinq ans d’une gouvernance conquérante, Grand Bassam a vécu hier son dimanche noir. Comme Paris, Bamako, Ouaga, Tunis et tous ces lieux où les balles funestes de l’extrémisme vous fauchent sous le parasol d’une plage, au cours d’une partie de billard, à la terrasse d’un café, à la table d’un restaurant, sur...
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