Cousin adoré, pardonne-moi, de ne t’avoir pas étreint la semaine passée. Ce n’était pas un oubli, mais un bobo de santé. Tu sais, nous sommes des cousins fusionnels. T’en souviens-tu, lorsque tu disais qu’un rhume rebelle avait pris en otage ta voix. Pour moi, c’était une méchante grippe, accompagnée de maladies opportunistes, qui m’avait valu quelques jours d’alitement. Je me...
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